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07/11/2016

Rimbaud, mise à jour (novembre 2016)

Rimbaud,

mise à jour

(novembre 2016)

 

Alain Bardel est, avec Antoine Fongaro, à peu près le seul à tenir compte de nos travaux relatifs à Rimbaud. Sur son site :

 

http://abardel.free.fr

 

il cite Alain Dumaine pour Rimbaud et les formes monstrueuses de l'amour (1980), et pour Rimbaud ou le renoncement à l'idéal baudelairien (1997) (dans petite_anthologie/prologue (d'Une Saison en Enfer)). Il cite encore ces deux essais, ainsi que notre numéro Claudel récupérateur de Rimbaud, 2006 (dans petite_anthologie/l_eclair). Il cite une troisième fois les deux essais d'Alain Dumaine (dans petite_anthologie/delires_1).

 

Mais notre revuette, La Petite Revue de l'Indiscipline, n'a plus son siège à Lyon, l'adresse depuis 2005 est : Christian Moncel, B.P. 124, - F 42190 CHARLIEU.

Depuis 2006, nous avons publié plusieurs numéros et plusieurs essais qui traitent de Rimbaud, et aussi de Verlaine :

 

Rimbaud et la Modernité : Science, Sagesse et Progrès (numéro 146),

Verlaine, la destruction de l'Enfer... et Rimbaud ! (numéro 150) ,

Rimbaud : des secrets pour changer la vie (numéros 150, 161 et 165),

Royauté ou la conclusion des Illuminations (numéro 154),

Verlaine, admirateur de Baudelaire, ou l'esthétique réduite au strict minimum (numéro 158).

 

Dans notre numéro 150, Verlaine, la destruction de l'Enfer... et Rimbaud !, nous avons montré que la version de Crimen amoris (de Verlaine), publiée en 1926, donnée par exemple dans les notes de l'édition de la Pléiade, et connue sous le nom de « copie de Rimbaud », était en réalité une version du poème revue, remaniée, modifiée et corrigée par Rimbaud. L'original verlainien de cette version n'existe pas, sauf pour les vers que Rimbaud n'a pas remaniés. Dans la version de Rimbaud, l'Enfer

 

« Se sacrifie à l'Amour universel,

 

Sûr de renaître en des fraîcheurs aurorales ».

 

Après la « campagne évangélique » sous la nuit bleue de Verlaine, vient l'aurore.

« Et à l'aurore, armés d'une ardente patience, écrit Rimbaud à la fin d'Une Saison en Enfer, nous entrerons aux splendides villes. »

Dans cette version, Rimbaud ne manque pas de déceler, avec beaucoup de perspicacité, les erreurs, les travers et les ridicules de Verlaine.

Antoine Fongaro, en 2011, a rendu compte de l'essai de Jean Donat, en reconnaissant qu'il constitue « une enquête solidement structurée et fortement argumentée ».

 

La revue Parade Sauvage annonce pour son numéro 27 (2016) un numéro spécial : Rimbaud et le sacré.

Pour notre part, nous avons déjà traité la question, en particulier dans :

Une anti-religion dont Baudelaire est le Dieu (dans notre numéro 150),

De la lettre dite du voyant à Solde (dans notre numéro 154).

 

Dans notre numéro 201, Le Délire de Rimbaud (de la lettre dite du voyant à Une Saison en Enfer), la question de l'anti-religion de Rimbaud sera traitée en particulier dans les chapitres suivants :

L'Idolâtrie de l'inconnu,

Baudelaire : Satan, ou le tentateur.

Nous donnerons en décembre 2016 le sommaire de ce numéro.

 

 

 

 

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