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27/05/2012

Ratés techniques pour le vote par Internet

Ordinateurs de vote

 

Le Monde du dimanche 27 et lundi 28 avril 2012 publie (p.9) un article intitulé : « Ratés techniques pour le vote par Internet ».

« Le Parti pirate, mouvement participatif né sur Internet, est-il dit dans le troisième paragraphe, a créé un site pour les plaintes des électeurs. »

Des Pirates au service de la République ?

« Ses quatre candidats, qui se présentent dans des circonscriptions de Français de l’étranger dénoncent « des insuffisances graves » dans la sécurité, critiquant le fait que des prestataires privés s’occupent de la majorité des opérations techniques. »

Et en effet, qui vérifiera les ordinateurs et les vérificateurs, sinon les Pirates ?

« De même, un candidat indépendant dans la dixième circonscription des Français de l’étranger (Afrique et Moyen-Orient), José Garson, a appelé au « boycott républicain » du vote par Internet. »

– Boycott républicain ? N’est-ce pas une interdiction républicaine du vote par ordinateur, invérifiable par les citoyens ordinaires, qu’il conviendrait d’instituer ?

 

Sébastien

24/02/2012

Les "Spécialistes de Rimbaud" et La Petite Revue de l'Indiscipline.

Les « spécialistes de Rimbaud »

et La Petite Revue de l’Indiscipline

 

I

Antoine Fongaro et

La Petite Revue de l’Indiscipline

 

 

1972-1982. Antoine Fongaro et le

Rimbaud et les formes monstrueuses de l’amour, d’Alain Dumaine (ouvrage publié

sous le nom de Christian Moncel)

 

Ceux qu’on a coutume d’appeler les « spécialistes de Rimbaud » ne semblent guère tenir les études publiées par La Petite Revue de l’Indiscipline sur ce poète pour intéressantes ou importantes. La preuve en est qu’en général ils ne citent même pas nos essais, et, quand ils les citent, ils évitent de mentionner leur contenu (voir à ce sujet, sur ce blog, L’Art de l’Esquive, dans la rubrique (catégorie) : La Petite Revue de l’Indiscipline dans les revues.

Il faut reconnaître à Antoine Fongaro le mérite de citer les ouvrages de La Petite Revue de l’Indiscipline relatifs à Baudelaire, Rimbaud et Verlaine, et, chose extraordinaire, de ne pas craindre d’aborder la question du contenu de ces ouvrages.

Antoine Fongaro est le seul (avec Alain Bardel, toutefois), qui considère avec quelque sérieux les conceptions que nous défendons. Non que cet érudit soit toujours d’accord avec nous, mais cet accord partiel se détache sur un fond de désaccord presque complet avec les autres critiques.

Depuis 1972, date des premiers ouvrages d’Alain Dumaine sur Baudelaire et Rimbaud (publiés sous le nom de Christian Moncel), quarante ans ont passé. C’est l’occasion de résumer et d’examiner les points d’accord et de désaccord avec Antoine Fongaro, ce critique qui tient compte de nos conceptions.

Les premiers essais d’Alain Dumaine relatifs à Baudelaire et à Rimbaud (Baudelaire, les poisons et l’Inconnu et Rimbaud ou l’Avenir de la Poésie) n’avaient guère retenu que l’attention de La Tour de Feu, revue dirigée par Pierre Boujut.

Dès ses premiers comptes rendus, Antoine Fongaro avait reconnu en partie le mérite de ces ouvrages. Voici ce qu’il écrivait dans Studi Francesi (janvier-avril 1974), à propos de Rimbaud ou l’Avenir de la Poésie :

« M. Moncel me semble donner l'interprétation correcte (enfin ! ) des formules de Rimbaud dans ses lettres des 13 et 15 mai 1871. (...) C'est dans la conception du « dérèglement de tous les sens » que Rimbaud serait le continuateur de Baudelaire. Ici encore, les idées de M. Moncel me semblent justes. (...) »

Alain Dumaine insistait sur l’importance des poisons excitants dans l’œuvre de Baudelaire et dans celle de Rimbaud. Pour ce dernier, l’essayiste s’était surtout fondé sur les lettres dites du voyant et sur Une Saison en Enfer. Antoine Fongaro, dans son compte rendu, avait cru devoir relever que, de manière générale, au moins selon lui, il n’y avait guère de rapports entre la plupart des Illuminations et les poisons excitants. Est-ce bien certain ? Nous reviendrons plus loin sur la question.

En 1980, Alain Dumaine publiait Rimbaud et les formes monstrueuses de l’amour, ouvrage dans lequel il montrait que, pour Rimbaud comme pour Baudelaire, l’amour avait été l’analogue d’une « drogue redoutable », donc d’un poison excitant.

Dans son compte rendu publié dans Studi Francesi (mai-aôut 1982), Antoine Fongaro reconnaissait encore plus fortement les mérites d’Alain Dumaine :

« (...).

Au total, il me semble impossible de ne pas accepter la conclusion de M. Moncel, explication globale d'Une Saison en Enfer : « En décidant de se libérer du mensonge pour posséder la vérité dans une âme et un corps (Adieu), Rimbaud se dégage de l'emprise de Baudelaire, ce cher Satan qui professe l'amour du mensonge et déclare que la vraie réalité n'est que dans les rêves » (p. 45).

J'espère avoir donné au moins une idée de la richesse et du caractère stimulant de ces quelques pages. Décidément la brochure de M. Moncel va beaucoup plus loin et beaucoup plus profond que bien des thèses dites monumentales en plus de mille pages ! »

 

1982-2004. Fongaro semble

maintenir son jugement sur le

Rimbaud et les formes monstrueuses de l’amour,

d’Alain Dumaine.

 

Ayant encore progressé (car il faut bien reconnaître que son premier essai relatif à Baudelaire renfermait de considérables défauts), Alain Dumaine publie en 1993 Baudelaire et la Réalité du Mal.

Dans Studi Francesi, en 1995, Antoine Fongaro donnait un compte rendu élogieux de cet ouvrage, où il affirmait notamment :

(…). 

Alain Dumaine est mort en 1995. Son disciple, Jean Donat, publie cette même année Rimbaud ou le renoncement à l’idéal baudelairien, où il insiste sur le renoncement de Rimbaud à la quête de l’inconnu et à son entreprise du voyant.

Cette même année 1995, Jean Donat est amené à publier, dans Parade Sauvage, revue d’études rimbaldiennes, dirigée alors par Steve Murphy, un petit article qui porte pour titre : Rimbaud, la critique universitaire et le point de vue d’un poète. Cet opuscule est le fruit d’un compromis. Un poète ne devrait pas publier dans une revue trop savante, sauf peut-être pour y proposer un article sans défaut ; et Jean Donat, à ce qu’il m’a dit, considère aujourd’hui que ce ne fut pas vraiment le cas.

Antoine Fongaro avait continué à citer le Rimbaud et les formes monstrueuses de l’amour, d’Alain Dumaine (ou de Christian Moncel) dans plusieurs recueils : Sur Rimbaud. Lire Illuminations(1985), « Fraguemants »rimbaldiques (1989), et Matériaux pour lire Rimbaud (1990). Dans ce dernier livre, il affirme même :

« Depuis une dizaine d’années, je ne cesse de répéter par écrit et oralement que l’étude la plus pénétrante d’Une Saison en enfer est la brochure de Christian Moncel. Je prêche dans le désert. » (page 90)

 

 

2004-2007. De la lettre à l’esprit,

d’Antoine Fongaro, et les essais

sur Baudelaire, Rimbaud et Verlaine

publiés par La Petite Revue de l’Indiscipline.

 

Dans De la lettre à l’esprit. Pour lire Illuminations (Honoré Champion, 2004), Antoine Fongaro cite encore plusieurs fois le Rimbaud et les formes monstrueuse de l’amour, d’Alain Dumaine.

Toutefois, nous ne sommes guère d’accord avec la conclusion de son livre.

En 2, le critique affirme par exemple :

« Dans les textes d’Illuminations, Rimbaud n’inspecte pas l’invisible et n’entend pas l’inouï (contrairement à ce qu’il dit du poète dans la lettre du 15 mai 1871). »

Du moins Rimbaud y évoque-t-il son expérience.

Fongaro en reste à l’idée, exprimée en 1874 dans son compte rendu de Rimbaud ou l’Avenir de la Poésie, que Les Illuminations seraient dans l’ensemble sans rapport avec la quête de l’inconnu et avec l’entreprise du voyant telle qu’elle est annoncée dans les lettres de mai 1871. C’est évidemment très contestable.

Poursuivant l’œuvre d’Alain Dumaine, et apportant de nouvelles preuves à sa conception qu’Une Saison en Enfer raconte la quête de l’inconnu et le renoncement final à l’entreprise du voyant, La Petite Revue de l’Indiscipline a publié, de 2005 à 2007, plusieurs essais relatifs à Baudelaire, Rimbaud et Verlaine :

L’émotion en poésie ! (numéro 134),

Claudel récupérateur de Rimbaud (numéro 140),

Rimbaud et la modernité : science, sagesse et progrès (numéro 146),

Verlaine, la destruction de l’Enfer… et Rimbaud ! (numéro 150),

Royauté, ou la conclusion des Illuminations (numéro 154),

Verlaine, admirateur de Baudelaire, ou l’esthétique réduite au strict minimum (numéro 158),

Rimbaud : des secrets pour changer la vie ? I et II (numéros 161 et 165).

Dans Royauté ou la conclusiondes Illuminations, en particulier, Maurice Hénaud et Jean Donat montrent que, de Solde à Royauté, Les Illuminations sont une sorte de double d’Une Saison en Enfer. Il est question de la quête de l’inconnu, de l’entreprise du voyant et de son dépassement dans Solde, Mouvement, Soir historique, Guerre, Matinée d’Ivresse, Angoisse, Sonnet, A une Raison, Phrases, Vies, Départ (« Assez vu »), et enfin Royauté.

Le recueil se termine par la royauté de l’amour, bien différente de celle que Baudelaire, ce « cher Satan », avait conférée à l’auteur d’Une Saison en Enfer, en le couronnant « de si aimables pavots », c’est-à-dire en posant sur sa tête la double couronne des Fleurs du Mal et des Paradis artificiels.

 

Une version de Crimen amoris

rectifiée et corrigée par Rimbaud ?

 

Récemment, dans le dernier numéro de Parade Sauvage (2011, numéro 22), Fongaro a cité l’opuscule de Jean Donat : Verlaine, la destruction de l’Enfer…et Rimbaud ! en reconnaissant qu’il constitue « une enquête solidement structurée et fortement argumentée ». Puisque le critique ne mentionne que cet opuscule parmi nos essais de 2005 à 2007, il est possible qu’il s’agisse là d’un accord somme toute assez limité parmi des désaccords considérables, relatifs en particulier aux rapports des Illuminations avec la quête de l’inconnu.

Au sujet de la version de Crimen amoris connue sous l’appellation de « la copie de Rimbaud », version en réalité, semble-t-il, rectifiée, corrigée et remaniée par Rimbaud, voir, sur ce blog, La version rimbaldienne de Crimen amoris,dans la rubrique (catégorie) : La Petite Revue de l’Indiscipline dans les revues.

 

Le jugement de Baudelaire et de Rimbaud sur Musset. Emballement et imagination.

 

Vers la fin de sa conclusion, Antoine Fongaro écrit à propos de ce qu’on a appelé le « mythe » Rimbaud :

« (…) outre le fait que toute œuvre importante est d’abord mythifiée (ce fut le cas même des Méditations de Lamartine), il est constant que peu à peu les lecteurs passent à une réception « à froid », où la réflexion remplace l’emballement, la raison l’imagination, où on lit le texte tel qu’il est. »

Passons sur les détails et sur certaines questions peut-être secondaires. Fongaro semble ne pas distinguer de manière suffisante l’emballement et l’imagination au sens baudelairien. L’emballement du public existe, plus grave est l’emballement d’un certain auteur classé parmi les romantiques (il sera question d’eux plus loin). Rimbaud critique, sévèrement mais de manière parfaitement justifiée, l’emballement de Musset, dans Rolla et Namouna en particulier, ainsi que l’emballement d’un certain public pour ce genre de poésie. Baudelaire avait déjà nettement distingué, et même opposé, la sensibilité de cœur (pour l’amour) et la sensibilité de l’imagination (pour la poésie).

Quant à Lamartine, malgré ses longueurs et ses défauts, il reste, par moments, un grand poète :

 

« Elargissez, mortels, vos âmes rétrécies ! »

 

Et lui aussi a, de son point de vue, critiqué Musset. Comme homme politique, il a impressionné Hugo lui-même.

 

L’intelligence et le jugement de Rimbaud.

Rimbaud et le romantisme.

 

La conclusion qu’Antoine Fongaro donne à son ouvrage, tout en faisant preuve, pour une part, d’un certain bon sens, est consternante sous d’autres aspects.

Le critique affirme par exemple :

« D’abord, dans les textes d’Illuminations, je n’est pas un autre. »

Fongaro reprend la célèbre formule du poète pour la nier et lui conférer n’importe quel sens, ce en quoi il ne se distingue guère du commun des commentateurs.

Voyons la suite :

« C’est bien Arthur Rimbaud qui est l’auteur de ces textes. Avec sa personnalité de jeune homme de 18 à 20 ans ou 21 ans, formé par sa famille (bourgeoise) et son éducation (traditionnelle) dans la France du troisième quart du XIXème siècle. Avec son expérience, forcément limitée, mais avec une vue pénétrante de l’état social et politique de son époque, et une nette prise de position sur ce point. Avec ses connaissances littéraires extraordinaires, en particulier des poètes contemporains. Avec son imagination géniale, qui lui permet d’ “inventer” (comme il dit), par exemple, “la couleur des voyelles”. »

Il manque quelque chose. C’est tout simplement l’intelligence de Rimbaud. Excusez du peu. Car Rimbaud a compris, entre autres choses, le romantisme :

« On n’a jamais bien jugé le romantisme ; qui l’aurait jugé ? Les critiques ! ! Les romantiques, qui prouvent si bien que la chanson est si peu souvent l’œuvre, c’est-à-dire la pensée chantée et comprise du chanteur ? »

Examinons rapidement l’objection que certains voudraient peut-être présenter : Rimbaud n’aurait fait que croire comprendre le romantisme, ceux qui l’auraient compris, ce seraient les universitaires spécialistes ! Des gens qui croient être les seuls à comprendre les choses, et qui croient en particulier les comprendre mieux que les très grands poètes !

Puisqu’il semble que la pensée de Rimbaud dans ses lettres de mai 1871 soit trop difficile à saisir, même pour Fongaro, je renverrai à un passage d’Humain, trop humain, de Nietzsche, au chapitre De l’âme des artistes et desécrivains, numéro 155, Croyance à l’inspiration. Nietzsche distingue, dans l’esprit de l’artiste, d’une part la faculté productrice, qu’il appelle l’imagination, et d’autre part le jugement. De même, Rimbaud distingue le Moi, ou faculté productrice, et le Je, ou la conscience. « J’assiste à l’éclosion de ma pensée », écrit-il. Fongaro n’a certes pas assisté à cette éclosion. Alain Dumaine a analysé, de manière très précise, dans le premier chapitre de Rimbaud ou l’Avenir de la Poésie, la conception du poète à ce sujet.

Il semble que, sur ce point, Antoine Fongaro ait considérablement reculé par rapport à son compte rendu de 1974 (voir plus haut).

 

Michel Valtin examine le passage de Nietzsche que je viens de mentionner dans un extrait d’un de ses prochains livres. Voir : Faculté créatrice et Jugement sur le blog :

 

http://freudvaltin.hautetfort.com

 

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II

Alain Bardel et La Petite Revue de l’Indiscipline

 

Voir, dans la rubrique (catégorie) : La Petite Revue de l’Indiscipline sur la Toile, ce qui se rapporte au site :

 

http://abardel.free.fr

 

Sébastien

 

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23/02/2012

La version rimbaldienne de "Crimen Amoris"

Note modifiée le 23 février 2012

La Version Rimbaldienne de Crimen amoris

 

La Petite Revue de l’Indiscipline dans Parade Sauvage, 2011, N° 22 (Classiques Garnier, éditeur).

 

La version de Crimen amoris connue sous l’appellation de « la copie de Rimbaud ».

 

Dans le numéro de Parade Sauvage cité plus haut, Antoine Fongaro, dans ses Notes de lecture, rend compte de notre numéro 150 (automne 2006), qui porte pour titre principal : Verlaine, la destruction de l’enfer…et Rimbaud !

Voici des extraits de ce compte rendu :

« (…) Jean Donat aborde, sur nouveaux frais, le problème que cause le texte de Crimen amoris de la main de Rimbaud. Il pense que Rimbaud, loin d’être un copiste fidèle, a imprimé sa marque sur l’original et l’a modifié. (…) Et Jean Donat multiplie les rapprochements significatifs avec les textes de Rimbaud. Je ne les énumérerai pas, parce que tout le monde doit aller lire cet article. (…)

Il me semble que, sur la trace de Jean Donat, il vaudrait la peine de rouvrir le dossier de Crimen amoris. »

Selon Fongaro, Jean Donat verrait Rimbaud comme « l’être orgueilleux qui lance un dernier défi ». Le critique omet de dire que, dans les vers dus à Rimbaud, l’auteur montre l’orgueil de Verlaine, les travers de Verlaine, les erreurs de Verlaine, et, pour tout dire, la sottise de Verlaine : quand on est le jouet de ses pulsions, se prendre pour le bras qui va exercer la Justice Divine, est-ce bien malin ? Les vers remplacés, corrigés et rectifiés par Rimbaud sont une satire de Verlaine, présenté comme « le rossignol ».

A la destruction complète de l’enfer, imaginée par Verlaine, Rimbaud rajoute :

 

« Seul un rossignol chantait ».

 

Le « bois noir » de la pièce XVII de La Bonne Chanson suscite une fois de plus la raillerie de Rimbaud :

 

« Un petit bois agitait ses rameaux noirs ».

 

Par ailleurs, notons qu’au « désastre inouï » imaginé par Verlaine, Rimbaud oppose, à la fin d’Une Saison en Enfer, sa victoire :

« Car je puis dire que la victoire m’est acquise : les grincements de dents, les sifflements de feu, les soupirs empestés se modèrent. » etc.

Et, à la « campagne évangélique » du Crimen amoris de Verlaine, Rimbaud oppose les « splendides villes », également à la fin d’Une Saison en Enfer. L’auteur de cette œuvre est un partisan du Progrès, de la science et de la sagesse nouvelle, qui n’est certes pas celle de L’Ecclésiaste !

 

Sébastien 

Pour recevoir le numéro 150 de notre revuette, dont il est ici question, il suffit de nous envoyer 3,40 euros à l'adresse suivante:

Christian Moncel

B.P. 124

F42190 Charlieu

C.C.P. Lyon 1947-92D

(supplément pour l'envoi par avion).

Sébastien (24 janvier 2012).